C’est en Angleterre que Thomas Bigourdan se prend de passion pour le London Dry Gin et c’est en Camargue, terre d’essences sauvages, qu’il décide d’en créer sa propre version. Au cœur même d’Arles, le Gin Bigourdan se distille et révèle son caractère fougueux.
Thomas Bigourdan a posé son énorme alambic en cuivre à Arles au sein de la Distillerie de Camargue. Inspiré par l’univers des huiles essentielles, des distillateurs et des parfumeurs où il a passé les 15 dernières années de sa vie professionnelle, il compose un gin aux 13 ingrédients méditerranéens, résolument londonien par son style et camarguais par ses ingrédients. Un gin qui laisse Jamie Baxter, un master distillateur très à cheval sur la définition du London Dry, s’exclamer : « It’s actually lovely ! »
Genévrier, bien-sûr, mais aussi immortelle, lavande, thyms, verveines, fenouil, coriandre, racines d’Angélique, citron… Derrière chaque plante, chaque aromate, il y a le prénom d’un producteur local, d’une fleuriste-jardinière, des odeurs de cueillettes sauvages en Provence, en Corse, en Occitanie et aussi l’art et la manière de choisir les épices d’Olivier Roellinger. Quand on parcourt la liste des 13 ingrédients qui composent la recette précise quasi maniaque du Gin Bigourdan, il y a de quoi se demander si ce spiritueux anglo-saxon, grand amateur de tonic, n’est pas aussi méditerranéen que londonien.
Il suffit de se perdre dans la garrigue et de faire un tour d’horizon pour trouver les éléments indispensables à l’équilibre du goût de ce London Dry qui a emprunté à la Camargue la netteté du trait, la fougue et la fluidité, les sautes d’humeur climatiques entre coup de mistral et brise marine, fraîcheur et grande chaleur.
Le Gin Bigourdan est disponible en ligne au prix de 37 € la bouteille de 50 cl.
L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.