Embargo Añejo Esplendido, le rhum primé des Bienheureux

Embargo Añejo Esplendido, tout récemment primé au Concours de Bruxelles 2017 où il a obtenu la Grande Médaille d’Or, est la création la plus haut-de-gamme et la plus âgée de la gamme Embargo.

 

Embargo Añejo Esplendido

Embargo Añejo Esplendido, médaille d’Or

Embargo Añejo Esplendido est la création la plus haut-de-gamme et la plus âgée de la gamme Embargo. Ce rhum à dominante guatémaltèque est assemblé avec trois rhums légers (Cuba, Trinidad & Tobago) et un rhum agricole d’une célèbre distillerie martiniquaise.

Il connait un vieillissement plus long et vient d’être récompensé au Concours de Bruxelles 2017 où il a obtenu la Grande Médaille d’Or. Ce concours est le plus exigeant de l’industrie des spiritueux car les produits y sont dégustés à l’aveugle par un jury international et sans critère tarifaire.

Le nez révèle des épices douces (cardamome, cannelle), une pointe de paprika, du miel d’acacia et une touche de fleur d’oranger. La bouche est équilibrée, ronde et fraîche à la fois. Des notes de coings et de prunes se mêlent au pain d’épices et au clou de girofle.

Embargo Añejo Esplendido est disponible chez Chateaunet au prix de 38 €

Embargo Añejo Esplendido

Les Bienheureux

Alexandre Sirech et Jean Moueix se sont rencontrés à Cuba où Alexandre dirige la société rhumière Havana Club International. Ils deviennent amis puis associés en créant la société Les Bienheureux qui est spécialisée dans la conception de spiritueux innovants de qualité. A la « David contre Goliath », ils décident de se concentrer sur la recherche pour créer des produits inexistants sur le marché. Ils s’imposent, de plus, une dégustation concurrentielle à l’aveugle avant la sortie de chaque nouveau produit.

 

Embargo Añejo Esplendido

 

L’histoire d’Embargo

Pour bien appréhender leur stratégie rhumière, il faut rappeler qu’il y a deux grandes écoles dans ce métier : les rhums agricoles et les rhums légers. Chacune a ses partisans, parfois virulents.

La plupart des rhums agricoles sont produits dans les Antilles françaises. Ce sont des distillats de jus de canne à sucre. Ils ont une grande puissance aromatique mais certains peuvent être lourds.

Les rhums légers (‘rones ligeros’) sont mis au point à Cuba au dix-neuvième siècle. Pour les produire, on ne distille pas le jus de canne mais la mélasse qui est le résidu visqueux et incristallisable de la fabrication du sucre. L’eau vie ainsi obtenue (‘aguardiente’) est séparée en deux lots. Le premier est élevé en fûts de chêne. Le second est redistillé pour obtenir un alcool le plus pur possible : le ‘superfino’. Les deux lots sont ensuite assemblés puis filtrés sur charbon actif. Le rhum qui résulte de ce procédé est moins aromatique mais plus digeste que le rhum agricole.

Arrivé à Cuba avec un fort a priori pour les rhums agricoles, Alexandre découvre la grande qualité des rhums légers dont il devient l’ambassadeur. Le succès du rhum cubain est impressionnant. Même la France, berceau des rhums agricoles français qui y sont d’ailleurs beaucoup moins taxés que leurs concurrents étrangers, finit par céder au charme du rhum cubain.

Mais si ces rhums légers sont très agréables à boire, il leur manque pourtant le nez incomparable des rhums agricoles. Comment réconcilier les deux écoles ? En les mariant… Embargo était né.

Après deux années de recherche, les Bienheureux mettent au point un subtil assemblage de rhum agricole de la Martinique et de rhums légers de Cuba, du Guatemala et de Trinidad & Tobago.

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


The reCAPTCHA verification period has expired. Please reload the page.

Proche
Proche