Le tour de France des gourmandises : Bourgogne-Franche-Comté

La Nougatine de Nevers, la Nonnette de Dijon, la dragée de Besançon, la Jacqueline de Dijon, les spécialités de Bourgogne-Franche-Comté sont à l’honneur sur Kiss My Chef, après celles de PACA, Normandie, Centre Val-de-Loire et Grand Est

La Nougatine de Nevers

La Nougatine de Nevers

C’est un bonbon de sucre cuit aux amandes en forme de palet. La Nougatine de Nevers a été Inventée dans les années 1850 par Jean-Louis Bourumeau et était un des confiseries préférées de l’Impératrice Eugénie.

  Le Négus de Nevers

Le Négus de Nevers

Il s’agit d’un caramel mou au chocolat enrobé de sucre cuit. La recette a été inventée par Messieurs Grelier et Lyron et doit son Nom à Ménélik, Empereur d’Abyssinie, également nommé le Négus, venu en visite officielle en France en 1900, année de création de ce bonbon.

  La Nonnette de Dijon

La Nonnette de Dijon

Ce petit gâteau de pain d’épices fourré de confiture était initialement une spécialité de Reims. Les fabricants de pain d’épices de Dijon reprennent cette recette rémoise et se l’attribue tant et si bien qu’elle devient une spécialité dijonnaise.

  Le glacé mince

Le glacé mince

Autre spécialité à base de pain d’épices, le glacé mince. Le glacé mince est un pain d’épices en forme de boudoir plat recouvert d’un glaçage blanc, doré ou brun. Autrefois, les vignerons de Côte-d’Or appréciaient de tremper dans leur vin ces languettes glacées, qu’affectionnaient aussi les enfants pour le goûter.

  La Dragée de Besançon

La Dragée de Besançon

Même si elle est synonyme de Verdun, elle n’en reste pas moins célèbre à Besançon. Il n’en reste pas moins qu’elle a bien été inventée par un apothicaire, à Verdun.

  Les sarments du Beaujolais

Les sarments du Beaujolais

Ce sont des chocolats à la liqueur de vieux marc, dans une boîte dont la forme évoque un lieu illustre du Beaujolais : la chapelle de Brouilly.

  L’Anis de l’Abbaye de Flavigny

L’Anis de l’Abbaye de Flavigny

Il serait le plus ancien bonbon de France. La légende raconte que l’anis aurait été introduit en Bourgogne à l’époque de Jules César. Dès le IXeme siècle les moines Bénédictins de Flavigny fabriquent de l’anis confit. La recette est par la suite reprise et améliorée par les sœurs Ursulines de l’abbaye, pour en faire un bonbon constitué d’une graine d’anis enrobée de sucre aromatisé à l’eau de fleur d’oranger ou à l’eau de rose. A l’époque la fabrication de ce bonbon prenait 6 mois, elle ne nécessite désormais que 15 jours.

  La Cassissine de Dijon

La Cassissine de Dijon

A sa création, en 1901 par Henri Breuil de la Maison Duthu, elle s’appelait cassiduthu. Dans les années 1920, le pâtissier Michelin achète la recette et rebaptise la friandise “cassissine”. Il s’agit d’une pâte de fruits contenant un noyau de liqueur de cassis et reste l’un des fleurons gastronomiques de la ville de Dijon.

  La Jacqueline de Dijon

La Jacqueline de Dijon

Il s’agit d’une coque en meringue, un cœur fondant aromatisé au choix, à la praline, à la nougatine, au café et au cassis. Elle tient son nom de l’épouse du Jacquemart, l’automate de l’horloge de l’église Notre-Dame et a été créée en 1926 par Anthonin Michelin.

  Les Corniottes

Les Corniottes

C’est une spécialité de la Bresse, de Louhans précisément. A l’origine, de forme triangulaire, cette pâtisserie rappelait le chapeau du curé. Autrefois confectionnée et vendue au moment de l’Ascension par les sœurs de l’Hôtel-Dieu, il s’agit d’une pâte brisée recouverte de pâte à chou.

  La pâte de coing

La pâte de coing

Spécialité de Baume-les-Dames, elle serait née au XVIème siècle après une dispute entre l’abbesse et l’évêque au sujet de la situation financière de l’abbaye. Elle aurait donné un coup de sa double crosse sur la tête de l’évêque pour obtenir les fonds qui lui manquaient. En mémoire de cette dispute, la pâte de coing, en forme de double crosse épiscopale fut envoyée chaque année à l’évêque, puis au Pape.

  La pâte de coing

La Cramaillotte

Surnommée le “miel de pissenlit”, la cramaillotte est une gelée de fleurs de pissenlit sauvage. Elle a pour vertu de guérir les maux de gorge.

  La Croquine comtoise

La Croquine comtoise

Cette perle, alliant croquant, croustillant et fondant est un chocolat noir feuilleté fourrée d’un praliné moelleux noisettes et saupoudrée de sucre glace.

  La tarte aux brimbelles

La tarte aux brimbelles

Plus grosse, plus ferme, plus juteuse et plus sucrée que la myrtille sauvage, la brimbelle se cueille en été dans les Vosges du Sud et se cuisine en tarte sur une pâte brisée sucrée.

  Les Griottines de Fougerolles

Les Griottines de Fougerolles

Ces griottes sauvages calibrées, dénoyautées et macérées au kirsch sont apparues dans les années 1980. Seule la variété Oblachinskas, récoltée dans les Balkans, ne peut devenir Griottine. Cette recette unique est perpétuée par les Grandes Distilleries Peureux à Fougerolles.

  La Poire belle dijonnaise

La Poire belle dijonnaise

Dessert régional de prestige, les poires belle-dijonnaise sont des poires pochées dans du vin, nappées d’un sirop vineux dans lequel se mêlent de la crème de cassis et des épices. Elles sont parfois nappées de coulis de framboise, accompagnées de glace au cassis et d’amandes.

  L’Amande royale ou le galet de Chalain

L’Amande royale ou le galet de Chalain

A l’apparence d’une grosse amande, Il s’agit d’un bonbon constitué d’une coque de nougatine saupoudrée de cacao et fourrée de praliné fin.

  Le Doubs Frisson

Le Doubs Frisson

Présenté dans des boîtes comme celles du Mont d’Or, ce produit régional est un praliné légèrement épicé aux éclats de fèves de cacao torréfiées enrobé de chocolat noir à 70%. La pointe d’épices apporte une fraîcheur frissonnante en fin de dégustation, d’où son nom.

  Le Biscuit Duché ou biscuit de Chablis

Le Biscuit Duché ou biscuit de Chablis

Traditionnellement ces biscuits s’apprécient trempés dans un verre de chablis ou une coupe de champagne. Son créateur, Alfred Duché aurait oublié ses biscuits au four, faisant d’eux des biscuits desséchés. Il eut alors l’idée de les tremper dans un verre de chablis. C’est devenu un biscuit incontournable à Chablis, depuis 150 ans.

  Le Rigodon

Le Rigodon

Outre la danse traditionnelle provençale, il s’agit également d’une sorte de pudding qui permet d’utiliser les restes de brioches ou de pain légèrement rassis, trempés dans un mélange de lait, sucre et œufs avec, selon la saison, des fruits frais ou secs (noix, noisettes).

  La Flamusse aux pommes

La Flamusse aux pommes

Ce flan sans pâte aux pommes, d’origine bourguignonne se déguste encore tiède et saupoudré de sucre glace.

  Le Belflore

Le Belflore

Créée en 1993 par le Syndicat des Boulangers –Pâtissiers du territoire de Belfort, cette pâtisserie renferme des framboises sous une couverture d’amandes meringuées, parsemée de noisettes.

  La Faïencine

La Faïencine

Spécialité bisontine, fabriquée par le Criollo Chocolatier, il s’agit d’un délicieux praliné feuilleté aux épices enrobé d’un chocolat blanc moiré de bleu, rappelant la faïence de la Nièvre.

 

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