A servir en entrée ou en accompagnement d’un filet de poisson blanc, simplement arrosé d’un filet d’huile d’olive, cette recette de polenta croustillante est un régal de saveurs. Elle marie la fraîcheur des fèves et des tomates vertes à la puissance du thym et du citron confit. Colorée, elle met assurément en appétit.

Polenta croustillante au thym et au citron confit
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 20 minutes
Recette pour 6 personnes
Ingrédients
Chez Oliviers&Co
- Huile Olive & Thym frais pressés
- Olivade noire au citron confit par Michel Roth
- Sel de camargue
- Mélange de poivre
Au marché
- 250 g de polenta précuite
- 1/2 bouquet d’aneth
- 4 petites tomates vertes
- 500 g de fèves à écosser
- Quelques billes de mozzarella de bufflonne
- Portez à ébullition 50 cl d’eau dans une casserole, versez en pluie la polenta et remuez sans cesser de mélanger selon le temps indiqué sur le paquet.
- Ajoutez une cuillère à soupe d’huile olive & thym frais pressés.
- Versez la polenta dans un plat à gratin rectangulaire préalablement huilé et laissez-la refroidir.
- Ecossez les fèves, puis ôtez leur seconde peau.
- Lavez et émincez en fines rondelles les tomates et recoupez-les en quatre. Lavez et séchez l’aneth, récupérer les plumets, mélangez le tout, salez et réservez.
- Préchauffez le four th. 6-7 (200°).
- Coupez la polenta en six parts, poivrez et enfournez pendant 20 minutes ou jusqu’à ce qu’elle soit dorée.
- Disposez les parts dans six assiettes, étalez généreusement une cuillère à café d’olivade au citron confit puis, déposez une bille ou deux de mozzarella, ouvertes en deux, sur chacun des rectangles.
- Répartissez le mélange de crudités (tomates, fèves et aneth) par-dessus, arrosez d’huile olive & thym frais pressés, poivrez et servez.

Cette polenta croustillante se réalise avec de l’Olivade noire au citron confit, une recette, revisitée par le Meilleur Ouvrier de France Michel Roth, associant à merveille les olives noires à l’acidité du citron confit, produits emblématiques du bassin méditerranéen.
© Jean-Claude Amiel