On mangerait moins de chocolat à Pâques alors que l’on consommerait de plus en plus de bières. Que cela ne vous empêche pas d’aller visiter les ateliers A la Mère de Famille avant de vous intéresser aux abeilles et aux tomates et autres bons articles relevés cette semaine.
Les chocolats de Pâques
Deuxième gros temps fort de l’année pour les chocolatiers, Pâques n’arrive cependant pas à supplanter Noël. On mange moins de chocolat à Pâques (via France Bleu)
Comment sont fabriqués nos chocolats de Pâques ?
Le travail insoupçonnable des artisans chocolatiers nous est conté en diaporama et en texte dans la Visite de chocolaterie A la Mère de Famille (via Le Parisien)
Nouveau format de livraison pour les enseignes
L’alimentaire de Monoprix va être disponible pour les parisiens clients du service Amazon Prime Now. Amazon-Monoprix, un rapprochement emblématique d’une tendance de fond (via Alimentation Générale)
La bière en constante augmentation
Elle se diversifie, elle monte en gamme mais reste loin derrière la consommation des Belges et des Allemands. Les français boivent de plus en plus de bières (mais sont encore loin de rentrer dans le « Guinness » (via France Info)
Belle progression du tourisme en France
Tiré par deux grandes régions, l’année 2017 est de nouveau favorable sur le plan touristique. Succès des grandes régions touristiques françaises en 2017 (via Hospitality-On.com)
Allons-nous vraiment perdre nos abeilles ?
Surveillées, étudiées, protégées, rien ne semble y faire, le déclin des abeilles est avéré. Les abeilles à bout de souffle (via Paris Match)
Le drame de la tomate
Difficile de modifier ses habitudes alimentaires, surtout quand l’ensemble de la restauration devrait montrer l’exemple. Et pourtant : Ne mangez surtout pas de tomate en hiver ! (via Youtube)
Une ferme souterraine à Paris
Non seulement elle est souterraine, mais elle est bio. Vous n’y croiserez ni basse-cour, ni aucun élevage d’animaux mais bien des variétés qui aiment bien l’obscurité. La seule ferme bio de Paris se situe dans … un parking souterrain (via Telerama)
Il n’y a pas que les chefs qui triment
Pression, horaires, clients, plateaux … la liste est longue pour les serveurs. Etre employé de salle est l’emploi le plus stressant de la restauration, bien avant celui de cuisinier (via Food and Sens)